1954, printemps, France, Gorbio lieu-dit « Le Beauriqueau ». (Alpes Maritimes)
Vers 02 h 40 ( ou 22 heures?) le témoin rentre chez lui à pied, par un petit sentier. Il entend comme un bruit de marteau frappant sur l’enclume. 20 à 25 m plus loin il entend un bruit de voix. Un éboulement s’étant produit sur le sentier, il emprunta alors un chemin traversant une propriété privée. Il se trouvait sur une terrasse, bordée d’un mur de pierres sèches sur laquelle on cultive l’olivier et l’oranger. Il descend quelques marches pour poursuivre son chemin sur une terrasse inférieure. Là il déboucha sur un spectacle inouï. A une dizaine de mètres devant lui un objet lumineux et brillant est posé par terre. Il est de forme discoïdale, plus bombé sur le dessus, portant un petit dôme à sa partie supérieure. La partie gauche était brillante comme de l’or. Le diamètre devait faire 5 m pour une épaisseur de 1,50 m. A gauche se tenait un être debout, 1,60m très mince et de proportions harmonieuses: il a laissé au témoin l’impression d’une seule pièce, très ajustée, englobant la tête. Elle brillait d’une lueur blanche « comme une luciole écrasée ». L’être tournait le dos au témoin. A son arrivée, il tourna la tête: à la surprise du témoin il y avait une espèce de voile qui partait du front, coupé net à la hauteur du menton. Il y avait un renflement à hauteur du nez. L’être prononça quelques mots à l’intention d’un second personnage que le témoin n’avait pas encore découvert. Les paroles ne furent pas comprises par le témoin. Le second être se trouvait vraisemblablement sous l’engin, il paraissait accroupi. A l’appel du premier il fit un pas ou deux en arrière en restant courbé, avant de se retourner brusquement en se relevant. Il était plus petit que le premier et de proportions moins harmonieuses. Il était habillé de la même façon et portait le même genre de voile. Il avait quelque chose sur le ventre ressemblant à une lampe de poche. Il y porta la main et aussitôt de cet objet tenu des deux mains, sortit un faisceau de lumière blanche. Le témoin se sentit aussitôt paralysé. Il ne pouvait plus bouger mais continua à voir et à entendre. Il avait des difficultés à respirer. Les deux êtres parlèrent encore entre eux, et le n° 2 s’est approché à 60 cm du témoin: il lui venait jusqu’au cou, cela lui donne un hauteur de 1 m45 environ. Il a alors soulevé son voile de la main gauche et levant la tête vers le témoin, comme pour bien lui faire voir: il grimaçait de façon horrible, les lèvres disjointes découvrant toutes les dents. Front haut et large, pommettes saillantes, menton pointu. Nez fin en bec d’aigle, dents régulières et blanches, barbe parsemée sur la pommette droite, peau basanée. Yeux écartés, yeux légèrement en oblique, gros et globuleux. D’abord le témoin croyait les orbites vides: puis il a vu un globe blanc, sans iris ni pupille. De l’oeil gauche coulait une grosse larme d’un liquide épais et brun qui descendait jusqu’à la commissure des lèvres: c’était horrible à regarder. Il perd connaissance. Quand le témoin reprit ses esprits l’appareil avait décollé, se trouvant à 60 ou 70 m et tournant sur lui-même.
L.D.L.N. « Mystérieuses Soucoupes Volantes » – ALBATROS-ETAPES 1973 – p. 133 à 137- M. FIGUET/J.L. RUCHON: Ovni, le premier dossier… Lefeuvre 1979, p. 69, 70)
L’être a lâché son voile qui est retombé sur son visage et, avec ses bras, à deux reprises différentes, il a fait des gestes éloquents, comme s’il incitait le témoin à le suivre (…) Le témoin les a vu disparaître dans l’engin sans qu’il puisse préciser où, il n’a remarqué aucune ouverture bien qu’il ait entendu un bruit sourd de fermeture métallique. Puis il a perdu connaissance…
Erich ZURCHER: « Les apparitions d’humanoïdes » – éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 155, 156