1955, 14 mai, FRANCE, Dinan (Côtes du Nord)
M. Droguet, demeurant au collège de jeunes filles, s’est trouvé en rentrant du cinéma vers 23 h 45, en présence d’un engin, stationnaire à 1,50 m du sol, dans la cour de cet établissement scolaire. Paralysé par la surprise, ou par un rayon bleu-vert qui l’éclairait aussitôt, il distingua deux humanoïdes de petite taille, vêtus de scaphandres avec des casques, dont un prélevait des échantillons du gros gravier dans l’allée de la cour.
Henry DURRANT: « Premières enquêtes sur les Humanoïdes ET » – Laffont 1977 – p. 92
« Je ne sais combien de temps je suis resté ainsi, un quart d’heure peut-être? Finalement les deux êtres sont revenus à l’engin. Sous l’engin j’ai distingué comme un trou noir d’où pendait une sorte d’échelle métallique de quelques barreaux seulement. Quand ils sont remontés j’ai nettement entendu un bruit de métal provenant de leurs semelles et de l’échelle. Quand ils étaient à l’intérieur elle a été remontée. J’ai alors senti une sorte d’aspiration, de succion. L’engin toujours éclairé a pris de la hauteur. Il était circulaire et semblait tourner sur lui-même. Au centre il y avait le trou noir que j’avais remarqué et qui semblait immobile. Quand l’engin s’est trouvé plus haut que les arbres, tout s’est éteint et je n’ai plus rien vu.
GARREAU et LAVIER: « Face aux extra-terrestres » – DELARGE 1975 – J’ai Lu, p. 142, 143