Maurice Masse France

Bonne lecture

1965, 1 juillet, France, Valensole (Basses-Alpes)

PV n°445 (1965309761)

Maurice Masse fumait tôt matin une cigarette avant de prendre le travail dans ses champs quand il entendit un sifflement. Il vit alors un appareil en forme d’oeuf posé dans son champ de lavandin et s’en rapprocha jusqu’à 6 m. Devant l’appareil deux personnages semblaient examiner la lavande. Ils mesuraient environ 1,20 m et étaient vêtus d’une combinaison gris-vert d’une seule pièce. Leur tête était trois fois plus grosse qu’une tête humaine, comportait des yeux normaux, mais une simple ouverture à l’endroit de la bouche. Ces 2 êtres sont ensuite restés quelques mn discuter en me regardant la plupart du temps. J’ai remarqué que leurs yeux bougeaient et j’entendis une sorte de gargouillement provenant certainement de leur gorge. Ils n’avaient presque pas de cou tant leur tête était rentrée dans les épaules. Ils semblaient se moquer de moi, pourtant leurs regards n’étaient pas méchants, tout au contraire. Ils ne portaient pas de casque. Les mains étaient petites, bien proportionnées. L’un d’eux sortit un tube d’une gaine de sa ceinture et la pointa en direction de Masse. Il fut ainsi complètement immobilisé. Pendant 60 secondes les créatures lui tournaient autour et une sorte de gargouillis sortait de leur gorge, leur bouche ne remuait toutefois pas. Ensuite les êtres regagnaient l’engin, la porte se referma en coulissant, et Masse les vit alors dans la coupole. L’engin dégagea du sol son pivot central, s’éleva lentement, ses six pieds minces se mirent à tourner de plus en plus vite et il partit en oblique. Au bout de 50 m il disparut brutalement d’un seul coup. Au bout de 20 minutes Masse retrouva graduellement sa mobilité pour rentrer chez lui.

Affaire abondamment commentée par tous les auteurs, car il y eut des traces au sol – cet extrait est tiré de: Henry DURRANT: « Premières enquêtes sur les Humanoïdes ET » – Laffont 1977 – p. 38 à 41