1974, 20 mars, Espagne, entre Horcajo et Lagunilla
La nuit du 20 mars Maximiliano Sanchez conduisait son camion lorsqu’il remarqua une lumière très brillante en plein milieu de la route, à environ 600 m devant lui (…) complètement aveuglé Sanchez fut forcé de s’arrêter sur le bas-côté de la route. La lumière diminua finalement d’intensité et Sanchez put repartir en sa direction, mais lorsqu’il n’en fut plus qu’à environ 200 m, ses phares s’éteignirent et son moteur s’arrêta. Il découvrit alors qu’il avait devant lui une magnifique soucoupe volante d’environ 12 mètres de diamètre, de couleur métallique argentée, parfaitement lisse, sans aucun rivet ni aucune ouverture, posée sur trois pieds arrondis au bout et éclairée par en dessous. Il aperçut alors une seconde soucoupe qui restait en vol stationnaire comme un hélicoptère, au-dessus et à droite de la première. Deux créatures d’apparence humaine vêtues de combinaisons brillantes faisaient des gestes (…) et apercevant le camion de Sanchez, remontèrent dans la soucoupe qui s’éleva d’une dizaine de mètres se plaçant à côté de l’autre engin à la même hauteur. Voyant que la route était dégagée et ses phares allumés, Sanchez essaya de mettre le moteur en marche qui tourna du premier coup. (…) il s’arrêta, éteignit ses phares, descendit du camion pour voir ce qui allait se passer. La première soucoupe était redescendue au sol. (…) prenant peur, Sanchez rentra chez lui. (…) Le lendemain, 21 mars, il se rendit à Lagunilla et y arriva vers 23 h 15. (…) Au lieu de deux, il y avait maintenant trois soucoupes, dont une sur la route et quatre humanoïdes. (…)
Maurice CHATELAIN: « Les messagers du cosmos » – Laffont 1980, p. 38 à 41