Florida Malboeuf Québec

Bonne lecture

6 janvier 1977, Montréal, Québec

 

Au moins un journal et des ufologues locaux ont rapport que Mme Florida Malboeuf, 58 ans, du 6420 de la rue Casgrain, à Montréal, a été profondément traumatisée par son expérience du 6 janvier 1977.

Plutôt insomniaque en raison d’un état bronchitique, Mme Florida Malboeuf, cette nuit-là, était assise à sa fenêtre vers 01:30 du matin. Elle a alors soudainement vu une sorte de « grande assiette » ou une « grosse huître » de 15 pieds de diamètre dériver dans le ciel comme en venant vers elle, un engin gris argent muni de phares blancs à sa base, qui l’ont presque aveuglée, puis être caché par le toit d’un immeuble de trois étages, en face, au 6399, de la rue Casgrain, angle Burelle, comme s’il s’était finalement se poser sur ce toit à seulement 60 pieds d’elle.

Elle s’est frotté les yeux et s’est pincé pour vérifier qu’elle n’était pas en train de rêver, et a du se rendre à l’évidence: ce qu’elle voyait était bien réel.

Elle a alors vu venir sur le toit deux êtres étranges et minces de 6 pieds et 5 pouces de taille, vêtus d’un costume de couleur pâle, sans ceinture et très serré. Ces « êtres de l’espace » ne lui semblaient pas peser plus de 25 livres chacun, tant leur démarche était légère.

Ils se sont avancés vers le bord du toit, ont regardé dans la rue, puis vers le ciel. Ils ont fait retraite quelques secondes plus tard, et elle a de nouveau vu l’engin qui s’est de nouveau élevé et a lentement dérivé au loin dans la direction du sud, comme s’il se dirigeai vers la rue de Bellechasse. Le tout, de l’atterrissage au décollage, a duré moins d’une minute.

Secouée, Mme Malboeuf est retournée au lit mais eu du mal à s’endormir. Ce n’est qu’à six heures l’après-midi suivant qu’elle a décidé de raconter son observation nocturne à fils André, 24 ans. Craignant malgré tout d’avoir été victime d’un mauvais tour, Mme Malboeuf a hésité à appeler la police.

Constatant l’état d’agitation de sa mère, André s’est rendu compte qu’elle devait avoir subi une expérience très traumatique et est immédiatement sorti enquêter, d’abord en consultant les voisins, mais aucun n’avait rien vu ni entendu de particulier dans la nuit d’avant. Il lui a semblé que le dessus de toit du bâtiment vide de l’autre côté de la rue serait le prochain endroit le plus logique ou aller. Malheureusement, il n’y avait aucun moyen de l’atteindre de l’intérieur. Il n’a eu d’autre choix que de grimper l’escalier d’évacuation et faire son chemin à travers un vide de 2 mètres de large, en utilisant une échelle comme pont improvisé.

Quand il a atteint le dessus de toit il a été effrayé par ce qu’il a vu. Une couche circulaire de glace de 20 pieds de large couvrait une couche mince de neige. Il était évident qu’une certaine forme de la chaleur ait fondu la neige et que ce cercle avait de nouveau gelé plus tard. Cette feuille de glace était flanquée de deux plus petites zones ovales de glace à quelques pieds de distance, vraisemblablement créé par la même source de chaleur. Les couches de glace plus petites ont semblé être plates, tandis que la plus grande étaient visiblement enfoncée au centre, formant un cratère peu profond.

André a immédiatement appelé Le Journal de Montréal pour rapporter ce qui s’était produit, et a également informé le contrôle du trafic aérien à l’Aéroport de Dorval, et a on lui a dit que ses déclarations seraient transmises aux quartiers généraux Canadiens et Américains du NORAD. Le contrôle du trafic aérien de Dorval lui a dit que trois autres personnes les avaient appelés pour rapporter un OVNI dérivant au-dessus de la gare de métro voisine de Rosemont, quelques instants après l’observation de sa mère.

Le lendemain, le journaliste photo Gilles Lafrance du Journal de Montréal a interviewé Mme Malboeuf et photographié la trace d’atterrissage. Le même jour, son fils a appelé la police urbaine d Montréal et deux de leurs officiers sont arrivés en peu de temps, ont interviewé Mme Malboeuf et mené une enquête qu’ils ont précisé être officieuse et personnelle.

Après la parution de l’histoire dans l’édition de dimanche de Le Journal de Montréal et du tabloïd hebdomadaire The Sunday Express, les ufologues locaux ont convergé sur les lieux de l’observation. Le premier à arriver était Howard Gontovnick, un ufologue de la région de Laval qui publie le périodique UFO-Canada. Malgré le fait qu’une grande partie des couches de glace avaient été couvertes de neige glissante, il est parvenu à en prendre plusieurs photos couleur. Le lendemain, un lundi, Marc Leduc de UFO-Québec a également rendu visite à Mme Malboeuf, mais en raison d’une grave tempête de neige, a été empêché d’inspecter le dessus de toit. Il est revenu la nuit de mercredi, accompagnée de Wido Hoville d’UFO-Québec, de Howard Gontovnick et de Paul Dubeau, un autre des témoins de l’OVNI du 6 janvier.

Avec André Malboeuf, ils se sont embarqués dans la montée périlleuse jusqu’au toit du bâtiment, où ils ont fait une autre découverte surprenante. Quatre empreintes de pas particulières, commençant au centre de la masse de glace et se dirigeant vers le bord du toit ont pu être vues. Bien que ces impressions aient ressemblé aux marques de talon et d’orteil d’une botte, elles étaient différentes de toutes celles que ces hommes avaient jamais vu avant. D’une part, elles étaient de seulement six pouces de long et seulement 1.7 pouce de large, de ce fait excluant la possibilité qu’elles avaient été faites par un adulte. En outre, en raison de la difficulté extrême pour atteindre le dessus de toit et la largeur étroite des traces, la possibilité qu’elles pourraient appartenir à un enfant pouvait être exclue. A la différence de la structure d’un pied ordinaire, la courbure de ces impressions était nettement renforcée vers l’intérieur.

Le rapport entre ces empreintes de pas étranges et ce qui avait causé la fonte de la neige en une trace circulaire était indubitable, les traces étaient incorporées dans la couche gelée et devaient donc avoir été produites tandis que la surface était toujours dans un état fondu. La trace de glace circulaire ne pouvait pas avoir été créés par un adoucissement de la météo, car les enregistrements du Bureau de Météo de Dorval prouvaient que la température était restée bien au-dessous de zéro pendant le mois précédant l’observation. La source de chaleur ne pouvait pas venir du bâtiment en dessous car sous la mince couche de glace la neige en-dessous n’avait pas été touchés par une fonte ou un gel.

Il a été également dit qu’à l’heure de l’observation, le chien d’un voisin de Mme Malboeuf s’était mis à hurler, son propriétaire ne parvenant pas à le calmer.

Mme Malboeuf a précisé qu’elle ne s’était jamais intéressée aux soucoupes volantes et n’y croyait pas du tout. Elle a ajouté que cet événement l’a tellement bouleversée qu’elle aurait de beaucoup préféré ne jamais avoir vu cela.

 

Témoignage de Florida malboeuf
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