Joyce Bowles et Ted Pratt Angleterre

Bonne lecture

1976, novembre, Angleterre, près de Winchester

Mme Joyce Bowles, 42 ans, voyageait le soir tard en voiture dans la campagne près de Winchester, en compagnie de son ami Ted Pratt, 58 ans. Soudainement, elle sentit la voiture comme soulevée en l’air, avant de s’arrêter complètement. Les deux personnes scrutaient la nuit noire de l’avenue déserte. Puis Mme Bowles se mit à crier de terreur. Une énorme créature aux yeux roses était en train de les fixer par le pare-brise. « C’étaient des yeux horribles, lumineux comme le soleil », se souvient-elle. « Ils appartenaient à un homme fort bien bâti habillé d’une combinaison argentée. Juste avant que nous l’avions vu, il y eut un son, comme un bruit de chaînes. Après nous avoir examinés, il retourna vers un engin en forme de cigare qui planait au-dessus d’un champ à quelques mètres de nous à peine. Nous pouvions voir qu’il y avait trois autres personnes à l’intérieur. Celui qui nous avait dévisagé est entré dans l’engin qui promptement a disparu. » Mr Pratt, quant à lui, dit « Je me suis effrayé quand le voiture a commencé à être secouée, mais quand la créature me regardait, je me suis senti étrangement calme. Peut-être m’a-t-il donné la force pour m’occuper de Mme Bowles qui était dans un état lamentable. C’était une expérience à vous claquer les nerfs. »

(Roger BOAR et Nigel BLUNDEL :  » The World’s greatest Ufo Mysteries  » éd. Hamlyn 1995, p. 129)

Mme Bowles encore accompagnée de Mr Pratt, est en voiture, quand ils entendent un sifflement aigu et qu’en même temps la voiture a des ratés de moteur. Mme Bowles se souvient : « Tout à coup nous étions tous deux dans cette machine. L’un des hommes de l’espace était celui qui nous avait examinés. Partout des lumières clignotaient et flashaient. L’homme nous dit que c’était son domaine, quoi que cela puisse signifier. Un de ses collègues sortit un papier où se trouvaient toutes sortes de lignes. Au centre il y avait un cercle entouré d’anneaux. Tous les hommes portaient aux pieds des bottillons dont la pointe était recourbée vers le haut. Ces bottes étaient lumineuses, comme l’étaient leurs combinaisons argentées. Ils portaient une ceinture et au milieu de celle-ci une pierre brillante, et l’homme le plus proche de moi pressait cette pierre ou la touchait. Ted pense que cela avait à voir avec l’échange de messages. Tout cela s’est arrêté assez soudainement. Nous nous sommes retrouvés assis dans la voiture, qui était arrêtée. C’était près d’une rivière, nous étions complètement perdus. Un grand faisceau de lumière éclaira la voiture, puis s’amenuisait en s’éloignant dans le ciel.  

Roger BOAR et Nigel BLUNDELL :  » The World’s greatest Ufo Mysteries  » éd. Hamlyn 1995, p. 129

1977, 7 mars, ANGLETERRE, Winchester

Mme Bowles se trouvait cette fois en voiture avec une amie Ann Strickland, très dubitative à propos des dires de Joyce Bowles au sujet des hommes de l’espace. C’était la nuit noire, elles roulaient sur une route déserte, le moteur de la voiture perdit de la puissance et s’arrêta. « Nous sommes sorties toutes les deux, et alors nous avons vu cette forme ovale, lumineuse, faisant entendre un léger bourdonnement.  » dit Mme Bowles. « Un homme est sorti et est venu vers moi, les mains tendues. Il m’a pris la main. Il regardait Ann de haut en bas: elle était terrifiée. Moi aussi, mais je ne le montrais pas. L’homme a commencé à parler dans une langue étrangère , puis il a changé en parlant un peu l’anglais. J’ai répondu « oui » mais je ne suis pas sûre que c’était la bonne réponse, car je ne l’avais pas compris. Puis il m’a dit quelque chose que j’ai très bien compris, mais je ne puis le dire à personne, je n’oserais pas. Il avait l’air d’un homme de l’espace comme ceux que j’avais déjà vus, mais il avait les cheveux plus longs, ils lui tombaient sur les épaules comme les cheveux d’une femme. Je vis comme des boucles au bas de ses jambes, et il portait une sorte de guêtres. Son toucher était chaud comme celui d’un être humain. Dès qu’il m’avait dit ce qu’il avait à me dire, il s’est retourné et est parti vers la Chose. Nous l’avons vu monter en l’air et partir dans un bourdonnement aigu. Ann et moi étions en route pour visiter des amis, mais nous sommes retournés directement à Winchester, chez nous. Mme Strickland, 65 ans, dit: « Je n’ai pas entendu ce que l’homme a dit à Joyce et elle refuse de m’en parler pour une promesse qu’elle lui aurait faite. J’ai eu comme un trou noir : trop surprise et choquée de le voir là , et effrayée aussi. Cela ne sont plus des choses pour mon âge. » Après cette rencontre Joyce Bowles eut des ennuis de santé: infection des voies respiratoires, et les mains tellement gonflées qu’elle ne put plus enlever sa bague.

Roger BOAR et Nigel BLUNDELL :  » The World’s greatest Ufo Mysteries  » éd. Hamlyn 1995, p. 130

1977, juin, ANGLETERRE, Westminster

En plein jour, la voiture de Joyce Bowles et de son passager Ted Pratt, fut prise par une force inconnue et déposée sur une route loin de la Petersfield Road, où elle roulait. Deux hommes sortirent d’une machine planant à moins de 25 mètres de là et se dirigeaient vers eux. Ils étaient différents des hommes rencontrés précédemment par Ted Pratt. « Ils avaient les cheveux couleur de sable, et ils portaient des combinaisons solides et métalliques » dit-il. « Ils ont dit d’être là pour aider l’humanité, quelque chose au sujet de la guerre. Ils disaient être effrayés par notre manie de nous détruire nous même et de polluer l’atmosphère. Ils ont tendu la main et ont pris les nôtres. J’étais très effrayé. Ils faisaient des signes avec les mains, mais je ne comprenais pas. Ils nous dirent au revoir et retournèrent vers leur engin. Il décolla et disparut dans le ciel. Nous étions là complètement choqués. Je suppose que nous les avions rencontrés pendant dix minutes. Mme Bowles ajoute: « Ils ont pressé un petit disque argenté dans ma main droite. Plus tard j’avais là une marque spéciale toute blanche. Ils ont dit qu’ils reviendront, mais je ne le veux plus. Je me sens comme une personne marquée. Ce n’est d’ailleurs pas bon d’en parler avec les gens, personne ne me croit ».

Roger BOAR et Nigel BLUNDELL :  » The World’s greatest Ufo Mysteries  » éd. Hamlyn 1995, p. 130