1976, 28 janvier, Espagne, Benacazon
Vers 00 h 30 Miguel Fernandez Carasco, 24 ans, regagne à pied son village après une visite rendue à sa fiancée. A 1 km de l’entrée du village il entend un fort bruit de « tracteur à chenillettes » et en se retournant voit une lumière très puissante à basse altitude, se rapprochant de lui. Pris de peur il se met à courir tandis que la lumière se rapproche et s’éloigne de lui à plusieurs reprises. Finalement l’engin atterrit à 6m du témoin: cela ressemblait à une cabine téléphonique de 2 m de large et 4 m de haut, vert sombre, avec au sommet une coupole ou gyrophare émettant des flashes rouges et blancs. Juste sous la couple des ailerons semi circulaires de 50 cm de long, le tout repose au sol sur un tripode. Une porte pivota sur ses gonds, libérant une rampe et livra passage à deux êtres humains de 2 m de haut, en combinaison d’hommes grenouilles serrantes et phosphorescentes. Leur large ceinturon est pourvu d’une boucle qui émet des rayons rouges et blancs aveuglants. Ces êtres se rapprochent du témoin jusqu’à 4 m environ, qui, ébloui se protège le visage des mains. Il ne put donc voir le visage de ses ufonautes qui parlaient un langage incompréhensible pour Carasco, mais de tonalité parfaitement humaine. A nouveau pris de panique Carasco s’enfuit, tandis que les êtres regagnent leur engin qui décolle aussitôt en oblique. Cette manœuvre s’accompagne de l’émission d’un flash photographique et de fumée qui tache la joue, les paumes, les cheveux et la veste: tout le côté droit du témoin, qui à ce moment, perd connaissance. Sans savoir comment, il se retrouve alors devant chez lui dans un état de confusion tel que ses parents appellent un médecin.
STENDEK n° 24, juin 1976