1973, 11 octobre, USA, rivière Pascagoula
Le jeudi 11 octobre 1973, Charles E. Hickson et son ami Calvin R. Parker (18 ans, employé du chantier naval voisin de Walker) partent pêcher sur la rivière Pascagoula, sur la côte du golfe du Mexique, à environ 160 km à l’est de la Nouvelle Orléans (Mississipi).
Vers 21:00, alors qu’il sont en train de pêcher près de la jetée du chantier naval de Shupeter, Hickson se détourne pour prendre de l’appât frais quand il entend un genre de sifflement. Il lève la tête en direction du bruit et aperçoit un phénomène bleu-gris allongé, de forme ovale. « L’engin spatial » possède des lumières bleues très brillantes qui clignotent. L’objet n’est qu’à 60 cm du sol. Hickson déclarera :
« Quelque chose s’est ouvert. Pourtant, il n’y avait pas de porte. 3 créatures se sont avancées vers moi en flottant. Je ne comprenais rien à ce qui se passait. J’étais terrifié. »
Ces êtres étranges mesuraient environ 1,50 m et étaient pâles « comme des fantômes ». leur peau était grise et toute ridée (peut-être une combinaison). Ils n’avaient pas de mains, mais des sortes de « pinces de crabes ». Dans son premier récit, Hickson déclara que les êtres avaient peut-être des fentes à l’emplacement des yeux, mais qu’il ne vit rien de précis. Par contre, il distingua de petites oreilles en forme de cône, un nez pointu et un trou à la place de la bouche. Il s’approchèrent des 2 pêcheurs en flottant juste au-dessus du sol, sans bouger les jambes. L’une des créatures émet une sorte de bourdonnement.
« Ils étaient sur nous avant qu’on ait pu réagir. »
Le jeune Parker perd connaissance lorsqu’un des êtres le touche. Puis ils soulèvent Hickson et glissent sans mouvement vers l’engin. Hickson ne ressent alors plus aucune sensation de poids ni de toucher. On l’emmène dans une pièce brillamment éclairée, bien que la lumière ne semble venir de nulle part. La 3ème créature emmène Parker dans une autre pièce.
Hickson se retrouve suspendu dans le vide, en position allongée. Il est totalement paralysé. Seuls ses yeux sont encore mobiles. Un instrument ressemblant à un gros oeil va et vient à environ 25 cm au-dessus de son corps. Puis les créatures le retournent pour que l’instrument puisse observer la totalité de son corps.
Quelques instants plus tard, les créatures rammènent Parker et Hickson, toujours en flottant, jusqu’à l’endroit sur la jetée où ils les avaient trouvés. Ils remettent Hickson en position verticale mais celui-ci tombe immédiatement, incapable de se tenir debout.
Puisque Parker restera la plupart du temps sans connaissance, le récit de ce qui se passa vient donc presque uniquement de Hickson. Lors du premier interrogatoire, il déclara que l’ovni faisait à peu près 3 m de large sur 2,50 m de haut :
« Il disparut du sol, en moins d’une seconde. Les occupants ressemblaient à des robots. Ils agissaient comme s’il avaient une mission précise à accomplir. Ils n’essayèrent pas de communiquer avec nous. Maintenant, je sais qu’ils n’avaient pas l’intention de nous faire de mal mais, sur le moment, j’ai vraiment eu peur qu’il nous enlèvent. Ils ne nous voulaient pas de mal, j’insiste, car c’est important. »
Signalement
Après les événements, les 2 hommes s’assoient dans une voiture pendant 45 mn, pour essayer de se calmer. Hickson boit du whisky.
Après en avoir discuté, ils décident de signaler leur expérience à la base Air Force de Keesler, qu’ils appelent. On leur répond que l’Air Force n’est plus en charge d’enquêter sur les ovnis et leur suggère de rapporter leur témoignage à la police.
, ils arrivent bureau du sheriff du comté de Jackson (Mississippi), avec un poisson-chat qu’ils avaient pris en pêchant. Le sheriff Fred Diamond Parker interroge les 2 hommes dans une pièce isolée, trouvant Parker particulièrement perturbé, mais se posant des questions sur Hickson qui avoue avoir bu. Par la suite il les laisse seuls dans la pièce, dont les micros continuent d’enregistrer :
Parker : Il faut que je rentre chez moi et que je me couche ou que je prenne des calmants ou que je voie un docteur ou quelque chose. J’en peux plus. Je vais devenir fou.
Hickson : T’inquiète, quand on sera sortis, je vais te trouver quelque chose pour te calmer et que tu puisses dormir.
C’est impossible que je dorme comme ça. Je suis juste en train de devenir fou.
Ben, Calvin, quand ils t’ont sorti – quand ils m’ont sorti de cette chose, goddamn it I like to never in hell got you straightened out.
(élevant la voix) : Mes putains de bras, mes bras, je me souviens qu’ils se sont tout simplement figés et que je ne pouvais pas bouger. Comme si j’avais marché sur un serpent à sonnettes.
(soupir) Moi ils ne m’ont pas fait ça.
Je me suis évanoui. Je crois que je ne me suis jamais évanoui dans toute ma vie.
J’ai jamais rien vu comme ça avant dans ma vie. Les gens ne peuvent pas y croire-
Je ne veux pas rester assis ici. Je veux voir un docteur-
Ils feraient mieux de se réveiller et de commencer à y croire… ils feraient mieux d’y croire.
Tu as vu comment cette putain de porte s’est relevée ?
Je ne sais pas comment ça s’est ouvert, fiston. Je ne sais pas.
Ca s’est juste relevé et juste comme ça ces fils de pute – juste comme ça ils sont sortis
Je sais. Tu ne peux pas y croire. Les gens ne peuvent pas y croire
A ce moment-là j’ai été paralysé. Je ne pouvais pas bouger
Ils ne pourront pas y croire. Ils devront bien y croire un de ces jours. Ca pourrait être trop tard. J’ai toujours su qu’il y avait des êtres d’un êtres d’un autre monde qui existaient. Je l’ai toujours su. J’ai jamais pensé que ça m’arriverait.
Tu sais toi que je ne bois pas.
Je sais, fiston. Quand je vais rentrer je vais prendre un autre verre, ça va me faire dormir. Attends, pourquoi est-ce qu’on est assis ici ? Il faut que je prévienne Blanche… on attend pour quoi là ?
(paniqué) faut que je rentre à la maison. Je suis malade. Il faut que je sorte.
Hickson se lève et quitte la pièce, laissant Parker seul.
C’est difficile à croire… Oh mon dieu, c’est horrible… Je sais qu’il y a un Dieu dans ce monde…
Le même jour, Larry Booth déclare avoir vu ovni dans la même région.
Le lendemain de l’événement, le bras de Hickson saigne d’une petite piqûre, à l’endroit où les êtres l’auraient aggripé.
Suite aux doutes de la police, Hickson et Parker demandent à ce qu’on les passe au détecteur de mensonges. C’est fait le , avec succès. Philip Julian Klass arguera que l’opérateur du polygraphe était inexpérimenté et incompétent.
Par la suite, Hickson et Parker sont soumis à leur demande au détecteur de mensonges, avec succès.
Hickson dira également avoir été 3 fois contacté télépathiquement par les extraterrestres, au début en 1974.
These recordings relate to the claimed alien abduction of Charles Hickson and Calvin Parker in 1973
Coworkers in Pascagoula, Mississippi, Parker and Hickson were fishing one evening when they claimed a UFO appeared nearby. Strange humanoid creatures took them onboard the craft and forced them to undergo an examination.
The case earned much publicity in the mainstream media. Both men passed polygraph examinations, which seemed to establish that Parker and Hickson believed their story was true.
These ten zipped MP3 files include radio news coverage, hypnosis sessions and other recordings related to the « Pascagoula Abduction. » Included is the original recording of Parker and Hickson’s first interview with police.
Police officer was secretly recording the interview. Police left the duo alone, expecting that if the story were a hoax, Parker and Hickson’s demeanor would change. But Parker and Hickson continued discussing the abduction experience and their response to it: they expressed disbelief and awe at the event, and Hickson repeatedly mentioned his wish to see a doctor.
39: Pascagoula, MS Sheriff Department interview of Charles Hickson and Calvin Parker on 10.11.1973. 38:30
40: Charles Hickson is interviewed by Dr. James Harder. 16:45
41: Chuck Burgess , Pascagoula, MS newspaper reporter is interviewed by Kevin Doyle on radio, 10.12.1973, regarding Charles Hickson and Calvin Parker. 11:00
42: Pascagoula, MS Sheriff, Fred Diamond comments on the Hickson / Parker abduction investigation 12.12.1973. 00:45
43: Fred Diamond , Sheriff of Pascagoula, MS, is interviewed on the radio, 12.12.1973. 07:45
44: Pascagoula, MS radio news report of 10.16.1973. 01:30
45: Charles Hickson interviewed and comments by Dr. J. Allen Hynek in October, 1974. 19:30
46: Calvin Parker hypnosis audio clip from 1974. 11:15
47: Charles Hickson statement on UFOs, Extraterrestrials and his abduction in 1974. 11:30
48: Charles Hickson interviewed in Jackson, MS in 1999. 30:00
Archives de Philip Mantle
Philip Mantle étudie les observations d’OVNIS depuis des décennies et a déclaré qu’il trouvait le cas de Parker et Hickson, désormais renforcé par de nouvelles preuves, le plus crédible qu’il ait rencontré.
«J’étudie les ovnis depuis quarante ans et je n’ai jamais rencontré quelque chose de pareil nulle part. C’est une preuve physique sans précédent que quelque chose s’est passé cette nuit-là », a-t-il déclaré à MailOnline.
Parker et Hickson ont été interrogés et examinés par le Dr James Harder dans les heures qui ont suivi leur enlèvement et leur entraînement dans un « objet étrangement lumineux par des êtres humanoïdes ».
Dans un article que Mantle dit avoir été dactylographié par le Dr Harder, professeur d’ingénierie et passionné d’OVNIS, les hommes auraient eu « certaines marques » sur leur corps « dont aucun des deux ne pouvait expliquer ».
Le document, qui, selon Mantle, lui a été partagé par le CUFOS, révèle les méthodes d’examen utilisées par l’ufologue et ce qu’il a trouvé sur les deux hommes.
« Trois marques de type piqûre ont été constatées sur le bras gauche de Charles Hickson… un examen attentif a révélé que l’épiderme avait été pénétré comme par un appareil semblable à une aiguille… en même temps, certaines zones de l’épiderme avaient été retirées de manière circulaire.
Aucune autre blessure n’a été constatée, précise-t-on. Sur Parker, « des marques de type perforation de la même manière ont été constatées à l’intérieur de son pied, comme l’indiquent les photos ».
Encore une fois, « aucune autre marque ou éruption cutanée n’a été notée sur le reste du corps, à l’exception des imperfections et des boutons naturels ».
