Pierrette Debofle France

Bonne lecture

1971, 30 mai, France, Camiers ou Dannes

Un dimanche de Pentecôte situé au 30 mai 1971 par la plupart des sources, Mme Pierrette Debofle, de Camiers, ou de Dannes, ayant la quarantaine, apparemment femme au foyer sans intérêt préalable pour la question OVNIS, était sortie vers 14 heures, pour aller ramasser de l’herbe pour ses lapins derrière sa maison.

Selon une source, en levant la tête, elle a vu en direction de l’immense carrière de craie dont le sommet culmine à 178 mètres et qui limite son horizon une masse sombre insolite en forme de bassine renversée avec dôme, de la grosseur d’un bulldozer, suspendue à quelques centimètres au-dessus du sol, à 800 mètres d’elle.

Selon une autre source, au moment où elle est arrivée dans son jardin, elle a cru apercevoir un enfant dans la carrière de craie de la cimenterie située à 300 mètres de chez elle.

Comme cette usine où travaille son mari est d’habitude déserte les jours fériés, elle a prêté attention à cette présence pour essayer d’identifier ce visiteur, ou selon l’autre source, continué à ramasser de l’herbe tout en surveillant l’engin.

Elle a pu se rendre compte assez vite qu’il ne s’agissait pas d’un enfant, mais d’un « nain » qui avait un torse volumineux pour sa taille et une tête ronde plus sombre que le corps et surmontée d’une sorte d’auréole brillante.

Sa démarche était curieuse, puisqu’il marchait en se dandinant comme un canard en donnant par moment, l’impression de ne pas toucher le sol.

Mme Debofle de plus en plus intriguée le voit alors de baisser pour ramasser ce qui a été dit être forcément un morceau de craie de la carrière, puisqu’il ne s’y trouve que cela à ramasser, puis se diriger en se dandinant vers l’engin stationné dans la carrière.

Comme il y avait le bulldozer qui se trouve en permanence sur les lieux, elle a pu donner par comparaison les dimensions de cet engin: il pouvait avoir 3 mètres de diamètre et 1.60 de haut.

Elle a eu l’impression que l’engin ne reposait pas sur le sol, mais qu’il était immobilisée à près d’un mètre au-dessus. Cela lui a alors été confirmé parce qu’elle a vu le nain se baisser pour passer en-dessous de l’engin.

Aussitôt qu’il a été en-dessous, il a disparu à l’intérieur comme s’il y avait été aspiré.

Il y a alors eu comme un immense éclair et l’engin s’est élevé obliquement, avant de partir « comme une flèche et sans le moindre bruit. »

L’observation a duré 10 minutes.

Quand elle est revenue de sa stupeur, Mme Debofle a couru alerter son mari et sa fille. Mais le temps de sortir de la maison, l’engin avait déjà disparu dans les nuages.

Son mari Jean a cependant pu constater l’affolement de sa femme et en être certain qu’elle venait bien de voir quelque chose d’inhabituel.

Il s’est rendu avec son voisin Adolphe Formanois, peut-être avec son épouse à la carrière dans l’après-midi, sous la pluie, mais aucune trace ou indice n’y a été trouvé.

Mme Debofle a fait son récit à des enquêteurs tels que René Bazin qui a rédigé un compte rendu en mars 1972, et René Pacaut qui a parlé plus avec le témoin, et ils pensent qu’elle n’a rien inventé.

  • Article par René Bazin dans  Lumières Dans la Nuit – Contact lecteurs, N.1, mars 1972.
  • « Ils Ont Rencontré des Extra-Terrestres », René Pacaut, Alain Lefeuvre éditeur, France, pp 90-92, 1978.
  • « OVNI, Premier Dossier Complet des Rencontres Rapprochées en France », Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon,  pp 359-360, 1979.