France, 1980, 8 Mai, Flixecourt (80)
Tentative d’enlèvement ? (RR4). En France, à Flixecourt (80), le 8 mai 1980, à 23h30 des gendarmes sont appelés sur les lieux de l’apparition d’un phénomène particulier. Un témoin, choqué, affirme que sa chambre a soudainement été éclairée par une forte lumière, qu’il a ressenti dans cette pièce la présence d’une forme humanoïde tout en étant paralysé et sentant la torpeur l’envahir. Il a pu appeler « au secours ». Sa soeur constate l’état de léthargie et la présence d’un gros ovni rouge lumineux par la fenêtre.
PV-n°419-1980308498Le Geipan, bien entendu, classe l’affaire. Méprise complexe…
Aucune étude transversale n’est menée. Il y a pourtant ce soir là deux autres cas répertoriés.
Un cas d’observation d’ovni par deux témoins :
Le 08 mai 1980 vers 21h 15, alertée par les aboiements de son chien, une personne sort dans sa cour et voit dans le ciel une forme lumineuse. Le témoin décrit une grosse toupie rouge orangée semblant en rotation ou un objet ressemblant « à deux assiettes creuses retournées l’une sur l’autre ». Le témoin appelle immédiatement sa voisine qui voit également une boule de couleur rouge et orange comme du feu en déplacement dans le ciel. Le PAN se déplace rapidement sur une trajectoire rectiligne Buxy – La Ferté – Sennecey-le-Grand à basse altitude. Les témoins précisent que ce soir-là, les aboiements des chiens aux alentours étaient anormaux et que la télévision s’est brouillée momentanément. La Gendarmerie ne trouvera aucun autre témoin du passage du phénomène, mais d’autres habitants du secteurs confirmeront le brouillage de leur télévision. Ils indiqueront également des problèmes sur leur bétail.
PV-n°354-1980308493Un cas de « Missing Time » avec deux militaires après observation d’un ovni :
Le 08 mai 1980 vers 22h 30, deux militaires en exercices de tir de nuit, observent un phénomène particulier au-dessus du terrain d’entraînement. Leur attention est attirée par un point émettant une lumière vive blanchâtre. Les témoins décrivent un objet à l’Ouest qui se déplace dans leur direction se rapproche et s’éloigne sans bruit. La durée d’observation est longue avant que l’objet ne disparaisse à l’Ouest. L’objet semble éclairer le terrain d’entraînement lorsqu’il s’approche. Le lendemain, un militaire constate que sa montre avance de 20 minutes.
PV-n°524-1980308492Enfin… 6 mois plus tard, le 28 Novembre 1980, le célèbre cas RR4 de Alan Godfrey avec « Missing time » d’une vingtaine de minutes sur sa montre.
Le dans le Yorkshire (Angleterre), Alan Godfrey sort pour chasser quelques vaches qui se sont aventurées dans un enclos privé. vers 5 du matin, ne les ayant pas retrouvées, il se prépare à abandonner. Comme il effectue une dernière ronde dans sa voiture de patrouille avant de quitter son service, il voit une lueur sur la route devant lui. Il pense immédiatement à un car de ramassage qui emprunte cette route tous les jours, et s’étonne qu’il soit tellement en avance. Puis, en s’approchant de la lueur, il s’aperçoit qu’il s’est trompé.
L’objet auquel Alan Godfrey est confronté ressemble à une toupie munie de hublots. Il plane juste au-dessus de la route, entre 2 lampadaires et tourne sur lui-même. Le policier peut voir les phares de sa voiture se refléter sur la surface métallique de l’objet. Il voit aussi les feuilles des buissons au bord de la route frémir à cause du déplacement d’air produit par la rotation. Le sol humide de la route est sec par plaques sous l’objet.
Gardand le calme réglementaire du « Bobby » britannique, Godfrey prend son carnet dans une boîte à gants et dessine avec soin un croquis de l’objet. Mais quelque chose d’inexplicable se produit alors : il se retrouve soudain plus loin, sur la route, éloignant la voiture de cette scène. Il fait demi-tour, interloqué et revient vers l’endroit maintenant désert où l’engin avait stationné, puis rentre en ville pour prendre un collègue avec lui. C’est alors qu’il prend conscience de l’heure. Quelque part, depuis qu’il a vu l’ovni, 20 min ont disparu.
